Oubliez-moi

Oubliez-moi, isoler, bloquer

Confortez-moi, l’ennuie, minuit

Pardonnez-moi, coeur, vide

Sublimez-moi, faite moi briller, m’élever jusqu’au succès

Dans ce monde ordinaire dénué de passion

J’vie mon imaginaire pour fuir la dépression

Vivre mes nuits dans l’ennuie là ou tout autres s’endorment

Le sommeil passer minuit, j’aspire à être mort

Loger dans un autre monde à la recherche de l’oublier

N’y passer qu’une seconde finir par être bloqué

Isoler dans la vie réelle, masquer, inaperçus

Qui finissent tous par être déçus

Refrain

L’isolation et la musique rend mon cœur vide, je suis dans une bulle livide

A minuit quand je me sens incomprise et m’ennuie, je revis ma nostalgie

Quand je n’ai pas d’idée, je préfère oublier ma créativité au lieu de m’inspirer

Je déambule dans l’imaginaire et je m’endors dans le confort, je m’endors dans le confort

Refrain

J’ai l’impression d’être dans une bulle

Toujours seul à partir de minuit

Comme dans le royaume d’Hyrule

Vide, le coeur pas l’esprit

C’est comme si on m’avait lancé un sort

J’aimerais fuir à cheval sûr

Mais pas de galop, j’ai qu’un porc

Qui porte sur son dos le poids d’ce mal, sur

Son coeur, sombre, sombre cherche pas y’a r,

Cherche pas y’a r

Refrain (x2)

42 chats

Se cacher est bien futile / Une grande nébuleuse est sa pupille / 42 chats les voilà / Car dorénavant c’est nous les proies / Trouve le sens de l’univers /Auprès de ce félin qui t’est si cher / Ces animaux fourbes cruels et ingrats
Craignez-les ce sont les chats !

Je passe ma porte, dans l’obscurité
J’ai mal digéré cette journée
À pas feutrés, tu viens me consoler Quand je n’arrive plus à penser
Je n’ai pas de réponse à tout ce non-sens Mais avec toi, je ne ressens face à ça qu’indifférence
Je ne pense qu’à ta chaleur à ce jour
À ta fourrure, à ton amour

S’il vous vient un jour l’envie de chercher Dieu Pas la peine d’aller plus loin que votre salon
Où un animal souple, gracieux et mystérieux Vous attend la patte ferme pour vous plonger dans une conspiration

Oui! Oui! Les chats savent qui nous regarde en haut Il n’y a rien de plus facile que de leur demander Il vous faut de la nourriture et de l’amitié Leurs révélations seront pour vous un vrai fardeau!

Dieu est un chat! L’univers est un chat!
C’est pour ça que c’est un grand bordel !
Notre seigneur est un seigneur ingrat !
Notre vie n’est que pour lui une classe universelle !

Vous allez le trouver barjot, que je crois trop au complots
Mais croyez-moi et ouvrez les yeux! Tout n’est que félin dans ce monde dangereux
Notre créateur est une créature de chaos

Se cacher est bien futile
Une grande nébuleuse est sa pupille
42 chats les voilà
Car dorénavant c’est nous les proies
Trouve le sens de l’univers
Auprès de ce félin qui t’est si cher

Ces animaux fourbes cruels et ingrats
Craignez-les ce sont les chats !

Malgré leurs aspects câlin
Grâce à leurs yeux nyctalopes Ces diaboliques félins Vont nous changer en escalopes

C’est un énorme complot Ils nous envahissent
Ils viennent semer le chaos Marque 666
Si tu crois à ce complot Tu sais ce que tu es?
T’es ou parano ou complétement foncdé

42 chats paressent chez toi
Calme silencieux des velours d’été
En ces instants acérés je me trouve entre Charybde et Scylla
Memento Mori à toutes mes amitiés

Congestion fabuleuse de cris lancinants Verbe qui se décompose dans ce placenta félin
Mille globes oculaires au regard indifférent
Est-ce la fin ?

Chasse universelle, quatre pelles qui s’en vont à la vie Existe encore et égrégore d’amitié immonde L’esprit d’un souris écrasé par l’infini Tout n’est que répercussion, comme la pluie créé l’onde

Astral futile, inutile de débat détestable Alors on se laisse aller, on quitte la réalité
Ce faisant on s’enfonce dans leur gosier, comme un piège vicieux
21, 84, 42

Se cacher est bien futile
Une grande nébuleuse est sa pupille
42 chats les voilà
Car dorénavant c’est nous les proies
Trouve le sens de l’univers
Auprès de ce félin qui t’est si cher

Ces animaux fourbes cruels et ingrats
Craignez-les ce sont les chats !