La discipline de l’esthétique (ou la philosophie de l’art) a ceci de particulier pour moi qu’elle me paraît appréhender des objets qui nous sont à la fois courants (nos perceptions, la nature, l’art, la beauté, etc.) et curieusement insaisissables. Je veux dire par-là que ce sont des objets dont j’éprouve les plus grandes difficultés à tracer les contours.