Otakus au taquet
En quelques années, et sans qu’on s’en aperçoive, ils ont envahi nos vies et pas seulement nos bibliothèques et librairies. De ce fait, notre président a permis aux jeunes d’acheter des mangas en masse, grâce au Pass culture. Mais ce n’est pas le seul élément qui leur a permis d’être aussi présents dans le monde aujourd’hui. Déjà, les produits dérivés se vendent comme des petits pains, partout : tasses, oreillers, posters, vêtements… Ce que vous voulez, c’est possible de le trouver. D’autre part, il y a les fans absorbés par l’évolution de leurs persos préférés, qui en veulent toujours plus.
Ce qui signifie passer les mangas en anime, créer des cosplays, des séries parallèles afin que le wagon redémarre encore et encore. Mais les mangas, ce n’est pas que ça. C’est du travail en amont, du graphisme, une réflexion digne des estampes japonaises du XIXème siècle. C’est pourquoi, l’équipe du journal l’Hypocrite s’est penchée sur ce phénomène pour tenter de percer leur secret. Au programme, rencontre avec la doubleuse-voix de Goku, analyse de la question du féminisme à travers les décennies ou encore reportage dans un salon-manga Vannetais…. Entrez dans ce monde merveilleux. On vous suit, n’ayez crainte.
L’édito par Louise Hiebel